« Chaque pierre symbolise une ville dont le destin est à la merci du réchauffement climatique. Buenos Aires, Bangkok, Rio de Janeiro, Miami, Jakarta et Chennai sont représentées par une pierre dont la taille correspond à leur nombre d’habitants. La position de chaque ville dans la tour correspond à l’altitude réelle du lieu et met en évidence son rapport avec le niveau de la mer qui ne cesse d’augmenter. Amsterdam par exemple est déjà à deux mètres sous le niveau actuel de la mer. Le titre de l’œuvre renvoie à la poétesse Emily Dickinson, que la mer a empêchée d’émettre la moindre parole et qui l’a donc littéralement privée de ses mots. En même temps, il évoque l’idée impossible d’un pillage de la mer, qui n’appartient à personne.
Au fil des ans, Pillage of the Sea sera progressivement submergée. La sculpture est une mesure de référence visuelle pour le réchauffement climatique, la marée décidant à tout moment de la taille de la partie visible de l’œuvre. Avec cette œuvre, Rosa Barba nous rappelle d’admettre notre vulnérabilité et d’honorer la nature ».
A travers ses clichés hauts en couleurs, Michel Peeraer vous invite à découvrir une vision unique et originale de ce qui nous entoure. Toujours à la recherche de nouvelles perspectives, il bouscule les conventions pour vous proposer des images audacieuses et éclatantes. Basé au Luxembourg, ce photographe passionné est prêt à venir à votre rencontre: que vous souhaitiez capturer vos compagnons à quatre pattes, immortaliser vos exploits sportifs ou tout évènement particulier.
© /mpeeraer. Tous droits réservés. Mentions légales.